Malheureux abandon de Guillaume Le BREC à bord de son GALANZ privé de pilote automatique dans la première étape Les Sables - Les Açores...
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Mailing - GALANZ
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GUILLAUME LE BREC SUR GALANZ, CONTRAINT D’ABANDONNER.
GUILLAUME LE BREC SUR GALANZ, CONTRAINT D’ABANDONNER.
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L’essentiel de l’info :
L’essentiel de l’info :
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- « Les Sables - Les Açores - Les Sables » est une course en solitaire et sans assistance.
- Une avarie irréparable en mer a contraint GALANZ à une escale technique.
- « Les Sables - Les Açores - Les Sables » est une course en solitaire et sans assistance.
- Une avarie irréparable en mer a contraint GALANZ à une escale technique.
- En raison de dangers météo, la direction de course a vivement déconseillé à GALANZ de reprendre la mer.
- Guillaume Le BREC a donc été forcé de déclarer forfait.
- Le jeune skipper accuse le coup, mais veut recourir très vite.
- Le jeune skipper accuse le coup, mais veut recourir très vite.
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C’est un coup dur pour tous les sympathisants, partenaires mais avant tout pour son skipper : le mini GALANZ a été contraint d’abandonner la course phare de la saison, « Les Sables – Les Açores – les Sables ». C’est une avarie au vérin de pilote dès la première nuit qui a forcé Guillaume Le BREC à regagner la côte après 4 jours de course.
C’est un coup dur pour tous les sympathisants, partenaires mais avant tout pour son skipper : le mini GALANZ a été contraint d’abandonner la course phare de la saison, « Les Sables – Les Açores – les Sables ». C’est une avarie au vérin de pilote dès la première nuit qui a forcé Guillaume Le BREC à regagner la côte après 4 jours de course.
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Après cet abandon, il ne pense plus qu’à préparer l’avenir pour repartir.
Après cet abandon, il ne pense plus qu’à préparer l’avenir pour repartir.
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Une avarie dès la première nuit
« Dès le début de la course, j’étais satisfait de la tournure que prenaient les choses pour GALANZ. J’ai pris un bon départ et j’avais placé le bateau où je voulais dans le bon paquet pour bien aborder la météo à venir » raconte le skipper du mini GALANZ. Seulement, dès la première nuit de course, les soucis ont débuté : « Le vérin hydraulique du pilote automatique a commencé à montrer des signes de défaillance. Je ne comprenais pas ce qui se passait, car c’est un système qui a fait ses preuves et que nous avons validé à plusieurs reprises. »
Cependant, il fallait bien se rendre à l’évidence lorsque Guillaume est descendu voir de plus près ce qu’il en était : « Le réservoir d’huile avait pris un coup, il y avait une fuite et l’air commençait à passer dans le circuit. La réparation était impossible en mer. J’ai donc utilisé le vérin électrique prévu en cas de panne. » Grâce à cela, Guillaume est revenu dans le match et confie « avoir retrouvé confiance, placé comme (il) le souhaitait dans le peloton pour aborder la suite des événements météorologiques. »
Une avarie dès la première nuit
« Dès le début de la course, j’étais satisfait de la tournure que prenaient les choses pour GALANZ. J’ai pris un bon départ et j’avais placé le bateau où je voulais dans le bon paquet pour bien aborder la météo à venir » raconte le skipper du mini GALANZ. Seulement, dès la première nuit de course, les soucis ont débuté : « Le vérin hydraulique du pilote automatique a commencé à montrer des signes de défaillance. Je ne comprenais pas ce qui se passait, car c’est un système qui a fait ses preuves et que nous avons validé à plusieurs reprises. »
Cependant, il fallait bien se rendre à l’évidence lorsque Guillaume est descendu voir de plus près ce qu’il en était : « Le réservoir d’huile avait pris un coup, il y avait une fuite et l’air commençait à passer dans le circuit. La réparation était impossible en mer. J’ai donc utilisé le vérin électrique prévu en cas de panne. » Grâce à cela, Guillaume est revenu dans le match et confie « avoir retrouvé confiance, placé comme (il) le souhaitait dans le peloton pour aborder la suite des événements météorologiques. »
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Pas question de lâcher prise.
Pas question de lâcher prise.
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Cependant, ce deuxième système de rechange n’est pas fait pour une utilisation intensive et il a rapidement lâché Guillaume ! Dès lors c’est avec une grosse abnégation que le skipper de GALANZ a abordé la suite de la course. Sans pilote, il a amarré la barre pour tenir le cap. « Au près, ça marchait pas mal, mais lorsqu’il a fallu abattre et lâcher les chevaux, ça ne fonctionnait pas il fallait que je barre. Malgré toute ma volonté, il est impossible de barrer 24h sur 24 pendant une semaine, c’est pourquoi j’ai alors pris la décision de rejoindre la côte pour réparer le vérin hydraulique et ensuite repartir. » C’est donc au matin du 5ème jour de course et après plus de 3 jours sans pilote que Guillaume est arrivé à Lorient où l’attendaient déjà Tanguy Le GLATIN, Jean François QUELEN et Remi BEAUVAIS. Ils ont pu bénéficier de l’atelier de Sam DAVIES (60’ IMOCA ROXY) pour monter le nouveau pilote prêté par NKE.
Cependant, ce deuxième système de rechange n’est pas fait pour une utilisation intensive et il a rapidement lâché Guillaume ! Dès lors c’est avec une grosse abnégation que le skipper de GALANZ a abordé la suite de la course. Sans pilote, il a amarré la barre pour tenir le cap. « Au près, ça marchait pas mal, mais lorsqu’il a fallu abattre et lâcher les chevaux, ça ne fonctionnait pas il fallait que je barre. Malgré toute ma volonté, il est impossible de barrer 24h sur 24 pendant une semaine, c’est pourquoi j’ai alors pris la décision de rejoindre la côte pour réparer le vérin hydraulique et ensuite repartir. » C’est donc au matin du 5ème jour de course et après plus de 3 jours sans pilote que Guillaume est arrivé à Lorient où l’attendaient déjà Tanguy Le GLATIN, Jean François QUELEN et Remi BEAUVAIS. Ils ont pu bénéficier de l’atelier de Sam DAVIES (60’ IMOCA ROXY) pour monter le nouveau pilote prêté par NKE.
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Grâce à l’efficacité de son entourage, Guillaume était prêt à reprendre la course le soir même. « J’ai alors signalé au directeur de course mon souhait de reprendre la mer. Celui-ci m’a vivement déconseillé de repartir. Il ne voulait pas me savoir tout seul excentré des autres concurrents dans la météo que j’allais devoir affronter. Il y avait 40 noeuds de vent et 5 à 6 m de creux prévu sur ma route. »
Grâce à l’efficacité de son entourage, Guillaume était prêt à reprendre la course le soir même. « J’ai alors signalé au directeur de course mon souhait de reprendre la mer. Celui-ci m’a vivement déconseillé de repartir. Il ne voulait pas me savoir tout seul excentré des autres concurrents dans la météo que j’allais devoir affronter. Il y avait 40 noeuds de vent et 5 à 6 m de creux prévu sur ma route. »
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Un gros coup de massue sur la tête de notre skipper décidé à partir pour Horta, qui s’est donné une nuit de réflexion pour prendre sa décision. « Le lendemain matin, nous avons pris les dernières informations météo avec le directeur de course. Les conditions prévues empiraient, la décision s’imposait en termes de sécurité. Ce n’était pas un choix facile, mais je me suis résigné à abandonner » confie Guillaume Le BREC, personnellement très touché de cette déconvenue. « Aujourd’hui, je pense à tous les gens qui s’investissent dans le projet, je veux mettre le temps que j’ai a profit pour préparer la saison prochaine et repartir au plus vite sur de nouvelles courses. » Une course est encore possible cette année mi-octobre à Barcelone. La participation de GALANZ est à discuter avec le sponsor.
Un gros coup de massue sur la tête de notre skipper décidé à partir pour Horta, qui s’est donné une nuit de réflexion pour prendre sa décision. « Le lendemain matin, nous avons pris les dernières informations météo avec le directeur de course. Les conditions prévues empiraient, la décision s’imposait en termes de sécurité. Ce n’était pas un choix facile, mais je me suis résigné à abandonner » confie Guillaume Le BREC, personnellement très touché de cette déconvenue. « Aujourd’hui, je pense à tous les gens qui s’investissent dans le projet, je veux mettre le temps que j’ai a profit pour préparer la saison prochaine et repartir au plus vite sur de nouvelles courses. » Une course est encore possible cette année mi-octobre à Barcelone. La participation de GALANZ est à discuter avec le sponsor.
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La Wild Thing Family souhaite bonne chance à Guillaume pour la suite du programme course mini 6.50 et ne perd pas de vue l'objectif principal du Team GALANZ : La Minitransat 2009 !
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@+
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2 commentaires:
Aïe, c'est con ça !
Je pense fort à Guigui !
Antoine Horellou
Comme ont dit a la maison:
"What a Fuck-Up Bro!!!!"
J attend la prochaine regate man...
Tonio
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